L'accouchement de ...

Bonjour à toutes,

Voilà l'histoire de la naissance de mon fils.

voici comme promis;

j'ai eu une belle grossesse et autant que j'ai apprécié tous les mois les uns après les autres, j'avouerai qu'une fois le dernier mois accompli j'en avais plus qu'assez!

J'en étais donc au jour du terme, et notre petit garçon pas du tout décidé à sortir. Et mon gynécologue, quoique un homme charmant, ne semblait pas pressé de mettre un terme à mes douleurs par une 'tite provocation. Donc madame, il y a assez de liquide amniotique, votre pression est bonne et le coeur du bébé va tip top, donc on se voit dans 3 jours.

ce n'était pas 3 jours particulièrement pénibles physiquement, surtout que mon mari avait pris congé pour me soutenir. Mais morallement c'était la grosse déprime et chaque minute, chaque heure était plus longue que la précédente.

Re-bonjour les filles,

Mon petit Bastian a 13 jours aujourd'hui. Je profite de sa sieste pour vous raconter mon accouchement.

L'histoire trouve son apogée le 22 mars 2005. Je n'ai fait que copier/coller un message que j'avais déjà fait paraître dans la mauvaise rubrique (Merci encore à celles qui y avaient réagi !). J'espère que ce coup-ci la naissance de Rosemarine ira dans la bonne rubrique !

Avant même d’avoir trouvé un potentiel papa pour mon futur bébé, alors que l’idée d’être mère ne m’attirait pas encore, j’avais déjà décidé que, si un jour j’avais un enfant, j’accoucherais dans l’eau. Depuis, j’ai rencontré un compagnon avec lequel tenter l’aventure, déniché une maternité branchée sur les méthodes douces (Aigle) et conçu avec mon amoureux un petit être qui, devant pointer son bout de nez à la mi-mars, s’annonçait sous le signe des poissons. Ce qui paraît idéal quand on prévoit d’accoucher dans l’eau… La sage-femme conseillère avait pris notes de toutes mes instructions : ni anesthésiant (d’ailleurs la péridurale est incompatible avec l’accouchement dans l’eau), ni épisiotomie, ni déclenchement « artificiel » de l’accouchement. Sauf qu’à la place d’un poisson glissant tout seul vers le large, je berçais dans mon utérus un petit bélier qui s’est accroché de toutes ses forces, attendant le printemps pour faire son entrée…

Euh... désolée... erreur de manipulation alors je remets le message dans la bonne catégorie... ( je suis douée pour plein de choses mais décidément pas pour l'informatique)
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Pour celles et ceux qui s'étaient peut-être posés la question d'où m'était venu l'idée de mon surnom... il s'agit d'une déformation du prénom de ma fille à l'asiatique... en français on pourrait dire "petite Méli"

Cela fera bientôt une année que ma puce aura posé les yeux sur sa maman pour la première fois, et toute émue de voir ce premier anniversaire s'approcher, j'en profite pour vous raconter l'histoire de sa venue au monde.

Pour celles et ceux qui s'étaient peut-être posés la question d'où m'était venu l'idée de mon surnom... il s'agit d'une déformation du prénom de ma fille à l'asiatique... en français on pourrait dire "petite Méli"

Cela fera bientôt une année que ma puce aura posé les yeux sur sa maman pour la première fois, et toute émue de voir ce premier anniversaire s'approcher, j'en profite pour vous raconter l'histoire de sa venue au monde.

Je remets le message car suite à une mauvaise manip', il n'était pas dans les histoires d'accouchement...

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Il paraît que statistiquement, il n’y a pas plus d’accouchements les soirs de pleine lune que le reste du temps… Hé bien moi, j’étais sûre que cela aurait quand même un effet, vu comme j’ai de la peine à dormir à chaque fois !

Le soir du lundi 23 mai, j’ai donc dit à mon homme de s’attendre à ce que cela soit pour cette nuit. Le terme étant fixé au 27, cela me semblait totalement possible même si lui restait sceptique.

Le terme était prévu le 15 janvier, mais comme je l’avais présenti, bébé n'était toujours pas là... Alors on commence à tourner en rond...
Mon prochain rdv chez le gynéco était fixé le 19 janvier à 11h15.
Le 19 au matin, je me réveille avec un tout petit peu de sang. Rien de grave selon moi, mais puisqu'on m'avait dit aux cours d'accouchement qu'il fallait se rendre à la clinique si on perdait les eaux ou s'il y avait des pertes de sang, j'appelle tout de suite la clinique !!! Je leur dit que j'ai rdv chez mon gynéco dans quelques heures, alors je leur demande s'il est bien nécessaire de se rendre à la clinique. La sage-femme me demande si je sens tjs bouger bébé et après réflexion, je lui dit : non ! Elle me demande si je viens de me lever, alors je lui dis oui et elle me répond que c'est alors normal ! Ouf !!! Elle m'informe qu'elle va appeler mon gynéco et qu'elle me tiendrait au courant. Cinq minutes plus tard, je reçois un téléphone non pas de la sage-femme mais de mon gynéco qui me dit que je n'ai pas besoin d'attendre mon rdv de 11h15, mais que je peux me rendre chez lui tout de suite ! J'appelle donc mon ami qui venait de partir pour lui dire de faire demi tour pour venir me chercher.

Voici mes accouchements:

Celui de ma princesse:

Tout commença le 24 juillet 2002 à 7h15.
A cette heure-ci, je me lève, je vais aux toilette et là...hop hop plouf perte des eaux..........
Une heure après, je pars avec le futur papa à la maternité. Arrivés là-bas, on nous fait écouter le petit coeur, et tout va bien... :-)

Vers 10h30, les contractions se font fortes et douloureuses, je ne savais plus comment me mettre et mon homme ne savait plus quoi faire pour me soulager!

bonjour a tous voila j ai accouche le 13/07/04d un pt garçon.
sa a commencer part la perte des eaux au debut j ai peurdu un demi-verre d eau et puis mon mari m as demander sa vas car il etais 5h 30 du matin et la je me suis lever et j ai perdu encore un peut comme un gros pipi et puis encore un peut j usqu a la maternite et la le reste il etais 7h il m ont mit un bacster et mon provoque j ai attendu j usqu as 16h35pourque mon pt nathan montre de bout de son nez et j ai eux de la chance je l ai vu sortir de moi cette magique bien a vous toute

Avant même d’avoir trouvé un potentiel papa pour mon futur bébé, alors que l’idée d’être mère ne m’attirait pas encore, j’avais déjà décidé que, si un jour j’avais un enfant, j’accoucherais dans l’eau. Depuis, j’ai rencontré un compagnon avec lequel tenter l’aventure, déniché une maternité branchée sur les méthodes douces (Aigle) et conçu avec mon amoureux un petit être qui, devant pointer son bout de nez à la mi-mars, s’annonçait sous le signe des poissons.

Voilà la petite histoire d'Alexia.

Mademoiselle Alexia est venue se nicher dans le creux de mes reins un 15 mai 2002.

Après trois fausses-couches, j'ai cru que je la perdrai elle aussi, cela c'est passé
le 23 juillet 2002. Coincée dans les bouchons sur l'autoroute entre Coppet et Nyon, je sens un liquide chaud couler, je me penche un peu en avant, et que vois-je, une marre de sang.

il m'a fallut 10 min pour mettre au courant ma belle-mère, qui était au volant de la voiture.

mais impossible de passer sur la bande d'arrêt d'urgence, plusieur véhicule bloquait le passage. Donc après encore 10 min d'attente voilà deux motards du TCS qui nous passe à côté, la je sors de la voiture pour leurs montrer ce qui se passe, et très gentillement ils nous ont ouvert la route jusqu'a l'hopital de Nyon.